À l'approche des échéances de paiement, vous avez sans doute reçu vos avis de taxe foncière et d’habitation. Les délais d’acquittement pour ces impôts sont fixés : la taxe foncière doit être réglée avant le 15 octobre, et la taxe d’habitation, d’ici le 15 novembre. Pour les paiements en ligne, les échéances se situent autour du 20 de chaque mois respectif.
Pour de nombreux contribuables, les montants affichés peuvent être source de surprise ou d’inquiétude. Si vous constatez une augmentation substantielle, ne vous laissez pas abattre. Il est important de savoir qu'il existe des voies de contestation de ces impôts locaux.
Les raisons possibles d'augmentation
- Réévaluation des valeurs locatives : cette révision peut s'appliquer aux propriétés et impacter la taxe foncière.
- Modification des taux d'imposition : les collectivités territoriales ajustent parfois les taux, entraînant des hausses.
Comment contester votre taxe
Si vous estimez que votre taxe est injustifiée, cela est possible de demander une rectification. Voici les étapes à suivre :
- Vérifiez vos avis d’imposition : Assurez-vous que toutes les informations sont exactes (surface, type de bien, etc.).
- Contactez votre centre des impôts : Exprimez vos préoccupations et demandez des explications sur les augmentations constatées.
- Déposez une demande formelle : Si nécessaire, suivez la procédure officielle pour contester la décision.
En restant informé et en exercant vos droits, vous pourrez éventuellement faire diminuer le montant de vos impôts locaux.







