La cantine, ce lieu des souvenirs marquants où la gastronomie et la vie sociale se croisent, est synonyme de rires, de petits drames et de découvertes culinaires parfois douteuses.
Des plats qui hantent
Qui n’a jamais éprouvé une certaine appréhension face à la vitrine de la cantine, où s'alignent ces plats devenus emblématiques dans leur médiocrité ? Les salades piémontaises, les macédoines de légumes ou encore le céleri rémoulade sont des souvenirs amers qui nous hantent encore. De nombreux élèves ont su tirer parti de la situation, se gavant de pain pour éviter des plats tels que la langue de bœuf avec sauce cornichons.
Les mésaventures mémorables
- Souvenirs d’un plateau malencontreusement tombé, provoquant un éclat de rires dans la salle.
- La désillusion lors du repas de Noël, où l'on espérait une tendre dinde mais où seule du ragoût de kangourou nous attendait.
- Moments de camaraderie dus aux plats familiaux mal préparés, dont des pâtes noyées dans une sauce insipide.
Anecdotes d'une enfance partagée
À ces souvenirs culinaires s’ajoutent des anecdotes cocasses. Qui pourrait oublier un restaurant scolaire transformé en scène de guerre à cause d'un chou de Bruxelles devenu projectile ? Ou encore cette fois où l'on s'est retrouvé à manger seul, dernier rescapé d'une épidémie de grippe, sans joie à partager l'expérience ? Chaque plat portait son lot de surprises, entre raviolis mal cuisinés et inconnues flottant dans l’eau. Ces souvenirs de cantine reflètent non seulement notre parcours scolaire, mais également notre évolution culinaire.







